2/26/2011

Mission photographique - saison 2 . 2

"Elles sortaient de terre telles des algues rigides"

12/03/2010

Mission photographique - saison 2


Mission 1 : "Fenêtre ouverte sur une étrange découverte"

4/01/2010







Mission photographique #6 : "De temps en temps, il s'asseyait devant son manuscrit pour finalement se heurter toujours à ce trou noir, à cette affolante lacune de la mémoire".

3/01/2010




Mission photographique #5 : "Comment Cynthia fut poignardée dans cette chambre sans fenêtre où elle s'était enfermée et barricadée."

2/13/2010

Parce qu'il faut bien en finir

Toute la vie
Jusqu'à la fin
Ne pas vivre ces instants
Ne pas élever nos enfants
Être si bien, s'étendre au creux l'un de l'autre

Toute la vie
Je le veux bien,
Vivre sans l'ami fidèle
Ton odeur apaisante, ton épaule à la hauteur

Jusqu'au dernier souffle
Ne plus t'aimer
Ignorer jusqu'à ton existence - As tu existé ?
Se perdant chaque jour un peu plus dans un futur incertain

Pour toute la vie, quittons-nous
Jusqu'à la fin, nous oublier

2/01/2010

J'ai 30 ans (Katerine)

Drôle ce qui ce passe, dans une tête qui commence à vieillir. De voir ses propres amis vieillir, de trouver que les quadras commencent à être attirants, comme quand à 20 ans, on est fasciné par les trentenaires. De trouver les jeunes si jeunes. Il y a aussi des nouveautés, le grand départ, le libre choix d'une vie que l'on sait déjà entamée et pourtant toujours pleine de perspectives et de choses à réaliser. Remise en question intime, de toutes les notions qui peuvent me passer par la tête : l'amour à 3 ? La vie à deux ? Sortir avec un petit jeune ? Qu'une fille m'envoie un message d'amour auquel je ne réponds pas parce je ne sais pas si c'est une erreur, ou pire que ce n'en est pas une. Commencer à assumer cette envie d'écrire, trop longtemps reléguée derrière le masque du peu de croyance en mes capacités. La conscience que mes parents vieillissent, eux-aussi, qu'ils vont mourir et que je m'en occuperais. L'envie d'être quelqu'un de bien, toujours, d'avoir la chance d'être assez libre et en bonne intelligence avec mon environnement pour ne pas avoir à marcher sur les autres pour s'en sortir. S'auto-immuniser du monde, un peu trop palpitant, un peu trop réel. Se poser 1 milliard de questions, comme d'habitude à vrai-dire, et ne répondre qu'avec peine à une ou deux. Camus écrivait pour éviter au monde de se désunir. Est-ce que c'est déjà en train d'arriver ? Une grande peur que l'intelligence n'abdique définitivement elle aussi. Alors, comme mission existentielle et de sauvetage, d'hygiène mentale et peut-être afin de faire émerger quelque chose d'un peu personnel, j'enregistre ce qui est beau, ce qui l'est moins et on verra au bout du compte. Pour l'heure, je commence seulement à ne me défaire des oripeaux effrayants de plusieurs années passées avec des oeillères sur moi-même. La vérité est crue, la vérité est cruelle. Seule, la vérité nue permet d'aller de l'avant sans sentir que la vie, une fois de plus, nous impose la familière et incestueuse douleur de se faire traîner par le col au gré de ses caprices.

Taxi

4ème mission photographique : "Si vous aviez pu vous voir étendu avec les phares du taxi qui vous éclaire."

1/06/2010

If you could only stop your heart beat for one heart beat - Bill Callahan

J’ai rencontré quelqu’un. "Rencontrer". Ce mot à un sens tout à fait particulier pour moi, que je n’ai compris qu’assez tard. Peut-être parce qu’il fallait une vraie personnalité, doublée d’une connaissance intime pour que ce mot prenne vie. C’était il y a longtemps, bien longtemps, mais depuis je m’applique à essayer de revivre cette expérience. Arrivé comme un cadeau de Noël en retard, il était juste parfait pour ce moment. Un temps limité, une fête, un départ prévu, pas d’enjeux. Une approche identique à la mienne, sans calcul, juste parce que l’on sait que l’on se plaît. Du bonbon, voilà ce que je lui ai dis pour qu’il continue. Il m’a dit que j’avais de jolis yeux et je me suis mise à rougir, à rougir tellement je ne me souvenais plus combien les compliments me touchent, combien ils m’avaient manqué aussi. Et finalement comme prévu, l’oiseau s’est envolé et je l’ai regardé partir, le cœur ravi.

12/30/2009

Rencontrer























Troisième mission photographique : "Ce n'est pas mon ami, c'est seulement quelqu'un que j'ai rencontré"



Image alternative


11/30/2009

Extrait de scénario #3

C'est la dernière chose qu'ils aient en commun. Il lui faut se rendre à la poste aujourd'hui et se débarrasser de cette corvée humiliante au plus vite. Elle regarde dans son porte-monaie, cherche la mitraille et se dirige vers la machine jaune. Personne. Personne n'est là pour lui dire que ça va aller. Elle pense à la lettre dans son sac. On dirait qu'elle n'a jamais acheté de timbre auparavant, ou bien que cela fait très longtemps. C'est le cas d'ailleurs. Elle sort la lettre, l'étudie bien tout en décollant l'étiquette du timbre qui vient de s'imprimer avec un bruit robotique. Tout ça pour ça, se dit-elle. Dans la lettre, un chèque, enveloppé d'une simple feuille vierge. Il n'y a d'ailleurs rien d'inscrit dessus ni sur la lettre, hormis, son destinataire. Elle la regarde glisser dans la boîte, essayant de se projetter le trajet de cette lettre, ce qu'elle va devenir, par où elle va passer pour arriver jusqu'à chez lui. Demain, peut-être, vers midi ? Elle imagine aussi très bien le chèque posé sur le bureau près de la fenêtre et la lettre jettée dans la poubelle à papier, dans la cuisine. Elle visualise tout ça en fermant les yeux et lui dit adieu.

Remonter la boucle

(Début de la troisième boucle)
Partir à Venise. Suivre sa voie. Sentir que ça va être long. Ça c’est fait. Apprendre qu’il doutait depuis le début mais que maintenant, il est passé à autre chose. Se noyer dans un verre d’eau. Me dire que je suis dans les regrets. Ruminer. Être submergée. Voir une femme aimée malgré sa maladie, partir. Ça c’est fait. Couper les ponts. Faire des bilans. Dire où on en est. Travailler dur, travailler jusqu’à n’avoir plus rien à penser. Vider son cerveau. Penser noir, pensées noires. Être perdue. Un ami m’avoue qu’il m’aime. Début de la deuxième boucle en écho.

Faire une fête mémorable. Ne pas être capable de draguer, ne pas le souhaiter non plus. Une promenade à cheval dans les marais salants. La fin de l’été qui dure. Sortir, se laisser aller, parler, jacasser, rire, boire des verres. Manger les premières huîtres. Ça c’est fait. Douiller. Le revoir. Je ne t’aime plus. Vouloir s’en détacher. Subir. Se retrouver seule. Avoir du mal à travailler. Revenir de vacances. La vie prend du temps. Refaire la peinture de la salle de bain en taupe et le salon en blanc. Installer mes affaires. Soulagée d’avoir trouvé un appartement. Prendre des médicaments. Lui donner encore des excuses. Loger temporairement chez la famille. Séparer les disques. Être dégoûtée de moi. Marcher à l’instinct. Balancer mes affaires dans des sacs pour que ça aille plus vite. Ça c’est fait. Lui dire que si je m’en vais comme ça, ça s’appelle une rupture. Début de la première boucle.

Lumières végétales















Ma deuxième mission photographique. "L'obscurité était pleine de lueurs vacillantes qui clignotaient dans la nuit".

11/22/2009

Composition de toilettes


Biennale de Venise, novembre 2009. Entre le pavillon italien et la sortie, après le parcours de l'Arsenal. Inspiration fugace, improvisation dans les toilettes.

11/02/2009

Transmission (Joy Division)


Mots et usages de la technologie moderne
Statut :
Je me permets de croire que parfois ça a du bon, de dire un peu de choses sur soi dans le monde virtuel. J’en ai la preuve grâce à l’attention qui m’a été portée seulement par le changement de statut que je fais sur mon compte Yahoo. Je ne m’en servais pas beaucoup avant et puis je m’y suis mis. Il y avait une bonne âme, là derrière, qui réagissait à mes mots, qui voulait comprendre et me faire parler. Je la remercie.

I'll kill her (Soko)


Mots et usages de la technologie moderne

Bloquer :
Les réseaux sociaux sont des outils fascinants qui peuvent s’avérer redoutables dans les domaines aussi bien privés que public. L’utilisation que j’en fais est graduelle et intuitive, c’est-à-dire que je comprends au fur et à mesure que j'utilise Myspace, Twitter ou Facebook - je mets à jour celui de la radio où je travaille, je n’en ai pas de personnel - leurs fonctionnements, leurs possibilités et l’empreinte que je laisse ou que les autres y laissent. FB m’avait déjà rendue jalouse, et même en limitant au maximum les risques d’y voir des choses désagréables, j’ai eu la mauvaise surprise de voir des mots – oui, ce sont bien des mots- qui m’ont plus que blessée. Parce que c’est public et lorsque votre ex clame à toute la terre qu’il est
prêt à trouver la femme de sa vie, qu’il la mettrait bien dans sa chambre, qu’il est ok pour rencontrer la sœur de truc et que non 28 ans, c’est pas trop jeune pour lui… On a beau dire ça fiche un coup. A l’estime de soi surtout. Et à ce qu’on a mis dans cette histoire. Une seule solution : BLOQUER ! et continuer à bloquer tous les autres réseaux où « Chéri » et ses coordonnées apparaissent. Un vrai parcours du combattant, mais pas de repos avant d’avoir tout éliminé.

Friend is a four letter word (Cake)


Mots et usages de la technologie moderne

Mailing :
Je suis entrée dans le mailing d’une vieille connaissance. Je ne savais même pas qu’il avait mon mail. Je reçois désormais de ses nouvelles, il m’a donnée son adresse et nous avons un peu évoqué sa vie lors d’un échange de mails. Il fait partie de ces histoires jamais finies, ni commencées et je m’étonne en fait qu’après tant d’années, de silence et d’éloignement, il se soit décidé à mettre mon mail dans un groupe, pour que je sois informée. Cela me fait penser à cette explication donnée pour la création de l’Encyclopédie des Lumières. Le fait de compiler des informations, de les classer et de les ranger à l’abri était le signe d’un grand bouleversement à venir. La Révolution. Alors, que se passe-il chez toi ?

Rumine















Devoir photo à faire 1 : "Vous vous asseyez là.. Et vous buvez... Et vous ruminez"

10/17/2009

Visite de tournage

Le film devrait s'appeler "La Vénus Noire" et va faire couler de l'encre à propos d'un mot : stéatopyge. Déjà parce que c'est compliqué à écrire, à dire - on aurait tendance à vouloir mordre le "to" du milieu, et parce qu'il est aussi dur à placer. Imaginez, lors de vos conversations de tous les jours : "Ouah la nana, trop stéatopyge! matte le fessier..." ou bien encore : " La nouvelle collection de vases Ikéa a vraiment une allure stéatopyge, tu ne trouves pas chérie?"... Sté-a-to-pyge, si si, ça commence à venir. Moi, cela me rapelle surtout les cours de statuaires grecs et les cours d'archéo à la fac, toutes ces vénus aux grosses proportions, fesses, lèvres, seins, la bouteille d'Orangina en fait!
Pour la petite histoire, c'était jeudi dernier, je me suis glissée telle une souris sur le tournage du prochain film d'Abdellatif Kechiche, grâce à un pote régisseur. Ils avaient bien prévenu pourtant : No journalists, No pictures, No Camera. Bref tout c'est bien passé, je suis entrée alors que la bonne centaine de figurants en costume du 19ème siècle - la scène se passe dans un tribunal à Londres - prenait place pour les dernières prises de la journée. Alors que tout ce petit monde rentrait dans la salle d'audience de l'ancien palais de Justice de Nantes, bientôt transformé en hôtel de luxe, je fis le tour de la salle, observant tous les angles possible de l'action. Tel un capitaine de navire, le réalisateur se tenait à la proue c'est-à-dire là où siègent les juges, et attendait sans dire un mot que chacun se place. La suite m'a été racontée par d'autres : du fait de sa manière de tourner débordant après la fin de la scène, les costumières étaient elles aussi en robes, afin de pouvoir intervenir tout en continuant à filmer. Car ce qu'il prend en fait, ce sont les moments à côté, la relâche des acteurs après le mot "Coupez". Mais bon, je ne dois pas apprendre grand chose à ceux qui connaissent ce réalisateur. Pour finir sur cette petite histoire, où moi, incognito, je jetais un oeil et enregistrais mentalement tout ce qui se passait, je rencontre une copine, travaillant au tournage. Pour lui dire bonjour, j'interromps brièvement une conversation qu'elle tenait avec un jeune homme en costume. Elle me présente : "Garz..., journaliste..." Sauf que celui-ci était Benjamin, directeur de production, qui il y a un jour par téléphone avait dit : "No journalists, No pictures, No Camera". Rien de grave, mais un peu la loose quand même...

La Mouche A Chat de Moyenne Altitude



















Conçue par l'expérience de la vie avec un jeune chat sauvage, qui progressivement et malgré son âge ingrat, devint un chat (taré) mais domestique, je recommande vivement l'utilisation de la M.A.C.M.A. L'observation attentive de ses multiples sauts de cabris, sa rapidité et son enthousiasme - il faut bien le dire - à s'alimenter de toutes les bêtes lui passant à porté de patte, m'ont conduit à mettre au point la Mouche A Chat de Moyenne Altitude. Ainsi, sa petite taille de chat n'est plus un obstacle face à un insecte trop habile et volant trop haut, et la mimesis quasi parfaite avec la mouche, assure un bon ratio satisfaction-plaisir-sportivité. Pour la fabriquer, rien de plus simple : utiliser une tige assez longue (au moins un mètre) et décorez-en l'extrémité avec un petit bout de tulle ou tout autre tissu, du moment qu'il bouge un peu.
Je dédie cette invention à Lilith, qui n'est plus mon chat.

10/07/2009

Un nom à ma maison

Je l'ai trouvé par accident buccal.
Il n'y a pas de montres ni d'horloges qui fonctionnent là où je vis. Pas de Freebox qui clignote dans la nuit, pas de magnétoscope-lecteur-de-dvd-tnt, ni de chaîne-réveil. Je m'y suis habitué. Le matin, il y a la revue de presse qui me dit qu'il est 8h30. Le midi, c'est la "story du jour" de Marie Colmant qui me dit qu'il est temps de chevaucher ma bicyclette, le soir c'est... ça dépend du soir.
Bref, ma maison a un nom. C'est la maison sans heurts.

10/03/2009

plein

vide

And I was a girl from school (Hot Chip)















Rythmique en boule, rythmique en bulle, parfois on se sentirait bien mieux au milieu des sons. Ils sont là pour nous réconforter après tout...

Plus j'essaie de comprendre les choses, moins je saisi ce qui se passe, ce qui s'est passé, alors je me raccroche aux images. Finalement, il n'y a qu'elles qui restent. Celles que j'ai faites depuis, celles qui servent à me reconstruire, non pas autour d'une énième fiction de moi, mais plutôt comme l'a fait Wajdi Mouawad dans sa pièce Littoral, pour réconcilier le moi d'avant et le moi d'après, celui qui n'a toujours pas compris ni encaissé que tout avait changé.

C'est dans ces images, dans leurs mises en place et la concrétisation de leur résultat, que je me suis dis, ici c'est chez moi. C'est mon espace mental, que je sois la moi d'avant ou celle d'après.

1/31/2009

Manifestations du 29 janvier 2009 à Nantes






























Quelques images de l'action nantaise.
Voiture de luxe pour faux Nicolas et Carla, entourée d'un cortège de manifestants "moutonisés"et d'un service d'ordre au taquet. Beeeeeeee!

D'affreux catcheurs















Dolly Prune, en compagnie de John Super Wayne et de Fotoman

1/29/2009

Extrait de scénario # 2

Lui (un léger frisson le parcours) : "Warhol était un prophète lorsqu'il disait que tout le monde aurait droit à son quart d'heure de célébrité."

Elle (rigole entre deux chips avalées) : "Oui, ça date de l'époque où la célébrité était une des choses les plus communément partagées, un peu comme un souffle divin qui pouvait toucher n'importe qui, n'importe quand, n'importe où. Aujourd'hui, il faudrait plutôt dire : "Tout le monde aura droit à son quart d'heure de taule ou de garde-à-vue."

Kidman

1/21/2009

je pense - je pense

je pense - que les mecs sont très limités parfois - je pense
je pense - que je ferais bien de ne pas voir des fois - je pense
je pense - que ça me fait du bien d'écrire cela aussi - je pense
je pense - que si j'étais victime d'un vice, ça serait la jalousie - je pense
je pense - qu'il faudrait un jour lui trouver une cure - je pense
je pense - que les coups de tatanes ne donneront rien - je pense
je pense - qu'ils seront toujours mieux que le chagrin - je pense

1/20/2009

Catch de dessinateurs à moustaches - 17 janvier 2009





















Voilà, je me suis lancée dans l'animation pour grand public.
Du coup, couleur blonde, robe, talons et tout le toutim était de sortie pour une soirée à l'odeur de levure.
Difficilement visible du haut de mes 150 cemtimètres +6 de talons, entourée d'une foule brayarde, joyeuse et mutine, j'ai pour ma part tenté de donner chair à mon rôle de pompomgirl.
Une mission remplie (comme mon estomac) de bière, jusqu'au bout.
Pour finir, j'ai sorti la moustache pour vider la dernière. Certains n'ont pas compris...

J'ai une pensée émue pour El Pepito qui a tellement donné de sa personne qu'il a fini emplâtré, victime d'une malencontreuse chute de podium. Ah, c'est ça d'être une star du catch de dessin à moustache, ça n'est parfois pas vraiment de tout repos. Allez, Aïe Pepito! et remets-toi vite!

1/15/2009

La fatigue...

















La fatigue... Cette soeur interminable

1/07/2009

Extrait de scénario # 1

Elle : assise sur le bord du canapé, les talons cloués au sol et les pointes de pieds dressées vers lui.
(Elle semble être aspirée par sa cigarette)

"Il suffit de tes facéties sentimentales! Désormais, c'est moi la Reine et je dispose de tous les angles d'attaques".

12/31/2008

Doigt, doitges !

Les doigts ont des droits
Doigt devant !
La voix des doigts
Doigt sans toit
Toi sans doigts
Doigt d'abord
Direction : Doigt
Tout doigt
De l'usage du bon doigt
Le bon doigt dégobille
Les doigts ont des oreilles
Gare au doigt qui dort
Un doigt peut en cacher un autre
Sac à doigt !
Doigt débonnaire, révolutionnaire et en colère
L'arrache doigt
Doigt vert
Vert doigt
En l'honneur du doigt
Doigt d'honneur
Doigt tout nu
Doigt au naturel
Doigt debout, assis, couché
Doigt musicien
La valse des doigts
Le plus beau doigt du monde
Sur le doigt du monde


Si quelqu'un est inspiré par ces doigts à croquer, qu'il se lance...

Les joies du travail

12/25/2008

Blablabla

J'irai

J'irai
quelque part
J'irai
comme le tempo
J'irai

D'habitude
j'allais
désormais
J'irai

X-mas desiderata

Entendu ce matin "j'aimerais bien le voir en vrai le père Noël parce qu'il habite au pôle Nord et qu'il a l'air vraiment gentil"

12/22/2008

Liberté 106 !

Elle était là, docile, bien sous tous rapports à première vue.
Sa couleur pâle, l'idéal. Son côté, "J'ai roulé ma bosse mais j'ai encore beaucoup à donner" m'a charmé délicieusement.
Depuis des années déjà, j'en rêvais sans l'assumer, sans oser. Je me réfugiais dans la pédale, en me disant ça ira, je suis heureuse comme ça. Mais quelque chose me manquait.
Aujourd'hui c'est fait. J'ai craqué pour elle.
Liberté 106 Peugeot! Je chéris ton nom!

12/20/2008

Metteur au point

Aujourd'hui je fais ma BA et vous propose un boulot
"START PEOPLE recrute pour un de ses clients UN METTEUR AU POINT REGION PAYS DE LOIRE H/F"

Mes quelles sont donc les qualités d'un metteur au point, la concision, la diplomatie, la tolérance, l'analyse, la synthèse? Des mains douces, agiles et en même temps, fermes?
J'aimerais tellement en rencontrer un pour de vrai! Il va me faire rêver ce metteur au point!

12/19/2008





















"Chien qui couine
Maîtresse en ruine"

ma première pensée du jour, dédicacée à tous les toutous et les toutoutes qui en ont gros sur la patate, Kaï!!!

Edito

Bonjour,
Voici le premier jet d'un blog qui n'a d'autres fonctions que celles de vous divertir, de vous amuser, peut-être de vous émouvoir, on verra bien.
Une vitrine ouverte pour moi, des échanges peut-être...